Bakou bien cool
Arrivée dans la capitale Azeri en pleine après-midi sans carte dans la circulation et la pollution. On cherche 2 hôtels repérés dans le guide Lonely Planet de 2008, en fait ils sont en reconstruction, on s’est fait balader pendant 3 heures dans la ville par les locaux qui nous indiquaient le chemin. On trouve quand même une auberge pour la nuit.
C’est impressionnant de rouler 5 jours entre les bergers, les ladas et la steppe et de déboucher dans une Ville genre Genève.
Bakou est une grande ville de façade où tout est refait à neuf, des bâtiments flambants neufs, des devantures de boutiques de luxe, des parcs verdoyants… on sent que l’apparence compte plus que tout. Sa richesse s’explique grâce au pétrole, la ville s’est développée d’un coup avec cet or noir. L’économie du pays repose uniquement sur cette ressource et seul Baku en profite.
C’est impressionnant de rouler 5 jours entre les bergers, les ladas et la steppe et de déboucher dans une Ville genre Genève.
Bakou est une grande ville de façade où tout est refait à neuf, des bâtiments flambants neufs, des devantures de boutiques de luxe, des parcs verdoyants… on sent que l’apparence compte plus que tout. Sa richesse s’explique grâce au pétrole, la ville s’est développée d’un coup avec cet or noir. L’économie du pays repose uniquement sur cette ressource et seul Baku en profite.
Arrivée dans la capitale Azeri en pleine après-midi sans carte dans la circulation et la pollution. On cherche 2 hôtels repérés dans le guide Lonely Planet de 2008, en fait ils sont en reconstruction, on s’est fait balader pendant 3 heures dans la ville par les locaux qui nous indiquaient le chemin. On trouve quand même une auberge pour la nuit.
C’est impressionnant de rouler 5 jours entre les bergers, les ladas et la steppe et de déboucher dans une Ville genre Genève.
Bakou est une grande ville de façade où tout est refait à neuf, des bâtiments flambants neufs, des devantures de boutiques de luxe, des parcs verdoyants… on sent que l’apparence compte plus que tout. Sa richesse s’explique grâce au pétrole, la ville s’est développée d’un coup avec cet or noir. L’économie du pays repose uniquement sur cette ressource et seul Baku en profite.
On lance nos visas dès le lendemain et c’est la ronde des ambassades. C’est un drôle de jeu dans cette ville en permanente reconstruction, les noms de rues ne correspondent plus. C’est quand même rigolo d’aller sonner à la porte des différents consuls : l’Ouzbek lent et sarcastique qui fait ses blagues pourries, le Tadjik en vrai père de famille s’occupe de nous et le Kazakhe le bon pote pas stressé qui veut essayer nos vélos couchés ! On a quand même réussi à demander 2 visas en dehors des horaires d’ouvertures. Maintenant va falloir attendre un peu.
La seconde mission est de dégoter une date pour monter sur le bateau qui nous transportera de l’autre côté de la mer Caspienne. Et là c’est mission impossible « visa niet, ticket niet ». La vieille dame du guichet, réputée pour être un dragon dans les contes de voyageurs ne parle pas anglais et ne délivre aucune info sur un éventuel horaire. Il faut acheter le ticket quand on est prêt, attendre et être prévenu au dernier moment, si elle a bien envie de nous donner l’info.
On reste quelques jours chez Kasia et Thomas, une Polonaise et un Hollandais bien rigolo qui travaillent ici.
On se rend au rendez-vous du dimanche de l’association de vélo écolo de Bakou, c’est un vrai plaisir de rencontrer des locaux sur la même longueur d’onde que nous. Leur but est de promouvoir le vélo en ville et de se faire une place dans ce monde de machines à essence qu’on appelle voiture. Pas facile, le vélo est considéré ici comme un jouet pour enfants et pas comme un moyen de transports, pétrole quand tu nous tiens… Là bas, on retrouve notre camarade Lionel et on fait la rencontre d’un adorable couple de Français en vélo, Mathilde et Mathieu, qui voyagent lentement et qui prennent le temps d’apprendre et de partager pas mal de choses. On va passer le séjour à Bakou tous ensemble, les Français sont dans la place ! Si on est contents de rencontrer des gens du pays, on s’est aperçu qu’il est aussi très important de rencontrer des voyageurs occidentaux, afin de partager nos perception du voyage et des rencontres .
A ce rendez vous des cyclos du dimanche, ça boit du thé en terrasse, ça papote et ça répare des vélos. Nous, on se retrouve même invités à dormir la semaine dans les bureaux de l’association, méga bon plan vu les prix à Bakou! On investit les lieux avec Lionel, on est comme chez nous sauf qu’on à pas la clé. Normalement, ca reste toujours ouvert, mais un soir qu’on rejoint des copains au bar, on rentre à 1h du mat’ et se retrouve à la porte ! Ca nous vaut une nuit bonus chez Kasia qui nous ouvre ses portes a cette heure avancée, on dort à même le sol sur son tapis. Kasia nous a bien dépanné, c’est incroyable la générosité des gens en voyage, on pourrait se sentir perdu dans cette grande ville loin de tout mais pas du tout, tout le monde est adorable et disponible avec nous.
C’est impressionnant de rouler 5 jours entre les bergers, les ladas et la steppe et de déboucher dans une Ville genre Genève.
Bakou est une grande ville de façade où tout est refait à neuf, des bâtiments flambants neufs, des devantures de boutiques de luxe, des parcs verdoyants… on sent que l’apparence compte plus que tout. Sa richesse s’explique grâce au pétrole, la ville s’est développée d’un coup avec cet or noir. L’économie du pays repose uniquement sur cette ressource et seul Baku en profite.
On lance nos visas dès le lendemain et c’est la ronde des ambassades. C’est un drôle de jeu dans cette ville en permanente reconstruction, les noms de rues ne correspondent plus. C’est quand même rigolo d’aller sonner à la porte des différents consuls : l’Ouzbek lent et sarcastique qui fait ses blagues pourries, le Tadjik en vrai père de famille s’occupe de nous et le Kazakhe le bon pote pas stressé qui veut essayer nos vélos couchés ! On a quand même réussi à demander 2 visas en dehors des horaires d’ouvertures. Maintenant va falloir attendre un peu.
La seconde mission est de dégoter une date pour monter sur le bateau qui nous transportera de l’autre côté de la mer Caspienne. Et là c’est mission impossible « visa niet, ticket niet ». La vieille dame du guichet, réputée pour être un dragon dans les contes de voyageurs ne parle pas anglais et ne délivre aucune info sur un éventuel horaire. Il faut acheter le ticket quand on est prêt, attendre et être prévenu au dernier moment, si elle a bien envie de nous donner l’info.
On reste quelques jours chez Kasia et Thomas, une Polonaise et un Hollandais bien rigolo qui travaillent ici.
On se rend au rendez-vous du dimanche de l’association de vélo écolo de Bakou, c’est un vrai plaisir de rencontrer des locaux sur la même longueur d’onde que nous. Leur but est de promouvoir le vélo en ville et de se faire une place dans ce monde de machines à essence qu’on appelle voiture. Pas facile, le vélo est considéré ici comme un jouet pour enfants et pas comme un moyen de transports, pétrole quand tu nous tiens… Là bas, on retrouve notre camarade Lionel et on fait la rencontre d’un adorable couple de Français en vélo, Mathilde et Mathieu, qui voyagent lentement et qui prennent le temps d’apprendre et de partager pas mal de choses. On va passer le séjour à Bakou tous ensemble, les Français sont dans la place ! Si on est contents de rencontrer des gens du pays, on s’est aperçu qu’il est aussi très important de rencontrer des voyageurs occidentaux, afin de partager nos perception du voyage et des rencontres .
A ce rendez vous des cyclos du dimanche, ça boit du thé en terrasse, ça papote et ça répare des vélos. Nous, on se retrouve même invités à dormir la semaine dans les bureaux de l’association, méga bon plan vu les prix à Bakou! On investit les lieux avec Lionel, on est comme chez nous sauf qu’on à pas la clé. Normalement, ca reste toujours ouvert, mais un soir qu’on rejoint des copains au bar, on rentre à 1h du mat’ et se retrouve à la porte ! Ca nous vaut une nuit bonus chez Kasia qui nous ouvre ses portes a cette heure avancée, on dort à même le sol sur son tapis. Kasia nous a bien dépanné, c’est incroyable la générosité des gens en voyage, on pourrait se sentir perdu dans cette grande ville loin de tout mais pas du tout, tout le monde est adorable et disponible avec nous.
On sympathise avec 2 jeunes de l’association, on est invités à manger chez eux. Leur famille nous accueille comme des rois : riz aux pruneaux, poulet, légumes, fromage, vin et cognac Russe… Une petite partie d’échec et on repart, mais pas si vite, la maman a préparé une table remplie de fruits frais et confits et de friandises pour accompagner le thé.
Pour la fin de la semaine, on doit préparer pour l’association une présentation du vélo en France et du voyage à vélo, sujet qui pourrait bien intéressé plusieurs membres. On prépare une présentation sympa avec PowerPoint (ca déconne pas !) et on passe tous ensemble en conférence pour leur expliquer notre projet et peut être faire naître quelques idées dans leurs esprits. Pour nous remercier, ils nous offrent carrément le tee-shirt de l’association, beaucoup d’émotion de se sentir soutenus et aidés si spontanément par cette belle association. On quittera Bakou des souvenirs plein la tête, une semaine au top plein de superbes rencontres et de générosité, ca fait chaud au cœur.
Dire qu’avant d’arriver, on pensait se reposer et trainer la patte jusqu’à l’arrivée du ferry, on a pas pu se poser 5 minutes, vivement le retour à l’aventure qu’on se repose sur notre vélo !
Pour la fin de la semaine, on doit préparer pour l’association une présentation du vélo en France et du voyage à vélo, sujet qui pourrait bien intéressé plusieurs membres. On prépare une présentation sympa avec PowerPoint (ca déconne pas !) et on passe tous ensemble en conférence pour leur expliquer notre projet et peut être faire naître quelques idées dans leurs esprits. Pour nous remercier, ils nous offrent carrément le tee-shirt de l’association, beaucoup d’émotion de se sentir soutenus et aidés si spontanément par cette belle association. On quittera Bakou des souvenirs plein la tête, une semaine au top plein de superbes rencontres et de générosité, ca fait chaud au cœur.
Dire qu’avant d’arriver, on pensait se reposer et trainer la patte jusqu’à l’arrivée du ferry, on a pas pu se poser 5 minutes, vivement le retour à l’aventure qu’on se repose sur notre vélo !