Vers la Route de la Soie
Le train en Asie c’est toute une histoire, déjà pour arriver à prendre un billet c’est la galère, au guichet pas de respect de qui était là en premier, les locaux n’ont aucun scrupule de te passer devant ouvertement en tendant une liasse de billet et leur passeport. Ca pousse de tous les côtés et faut jouer des coudes pour se faire une place.
Puis le moment venu de monter dans le train faut râler un bon moment (et en Russe s’il vous plait) pour mettre les vélos dans le dernier wagon pour pas à avoir les déplacer à chaque sortie de passager. On y arrive quand même au dernier moment, faut se dépêcher car le train va partir, les contrôleurs en stress nous balancent les sacoches dessus. Ouf, 3 vélos tiennent à l’arrière étroit du wagon, ca c’est de la ténacité de sacochard !
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Puis le moment venu de monter dans le train faut râler un bon moment (et en Russe s’il vous plait) pour mettre les vélos dans le dernier wagon pour pas à avoir les déplacer à chaque sortie de passager. On y arrive quand même au dernier moment, faut se dépêcher car le train va partir, les contrôleurs en stress nous balancent les sacoches dessus. Ouf, 3 vélos tiennent à l’arrière étroit du wagon, ca c’est de la ténacité de sacochard !
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De Disneyland au fin fond des montagnes
On repart pour 6 jours de vélo en direction du Tadjikistan. On retrouve la plaine désertique, sans grand intérêt. Le pays dispose d’immenses réserves souterraines de gaz (tiens encore un enjeu d’avenir). La route passe entre champs de coton et usines de gaz, on y croise des carrioles tirées par des ânes et des camions de propane. Le long de la route, on voit ce qu’on pense être les anciens conduits d’irrigation soviétique. A une époque l’URSS avait décidé que l’Ouzbékistan serait le producteur majeur de coton, un immense réseau d’irrigation a été mis en place, provoquant l’assèchement de la mer d’Aral, vous savez, ces bateaux rouillés échoués en plein désert qu'on voit dans Thalassa.
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